samedi 6 décembre 2008
HOUSE ATTACK
Que penser du rapprochement possible avec le Royal Garden Plaza (Pattaya, Thaïlande).
jeudi 4 décembre 2008
DE LA FORME ET DE LA FONCTION EN ARCHITECTURE ET URBANISME
A l'image de ce qu'a pu inaugurer Las Vegas, certaines manifestations de l'architecture postmoderne joue explicitement de la forme et de la fonction qu'elle sert.
DES VILLES : COMME TOMBEES DU CIEL
architecture from bruno barthas on Vimeo.
FRANCOIS MITTERAND REMIXED
greetings from bruno barthas on Vimeo.
mercredi 22 octobre 2008
VILLES VEGETALES
"Une vague verte s’empare des rues de Omotesando cet été. Cette tentative d’envahissement végétale est saisie depuis une des terrasses en hauteur du Gyre. Cette même journée, le soir, le ciel se rougit à l’excès au dessus du Shibuya. Et une forme massive urbano-végétale survole doucement et silencieusement le quartier bruyant de Akasaka".
source
vendredi 19 septembre 2008
REPENSER CHINATOWN AU-DELA DU CLICHÉ PAR LA VILLE MOBILE
"A new project by MAD, ‘Superstar: A Mobile China Town’, will be featured in the exhibition ‘Uneternal City’ at the 11th Venice Biennale, curated by Aaron Betsky. The exhibition invites 12 young global architects to suggest interventions into an anonymous suburban area of Rome, which will exploit and represent new spaces and urban fabrics of a Rome of the future. It will be shown in the Arsenale, from 14th September to 23rd November 2008". "Superstar: A Mobile China Town is MAD’s response to the redundant and increasingly out-of-date nature of the contemporary Chinatown. Rather than a sloppy patchwork of poor construction and nostalgia, the Superstar is a fully integrated, coherent, and above all modern upgrade of the 20th century Chinatown model. It’s a place to enjoy, to consume Chinese food, quality goods and cultural events; it’s a place to create and to produce, where citizens can use workshops to study, design and realize their ideas". MAD is a young and innovative architectural design office practicing contemporary architecture, urbanism and cultural analysis. Based in Beijing, we examine and develop our concept of futurism beyond the boundaries of architecture by exploring into sociology, technology and politics in today’s China. source
lundi 15 septembre 2008
PISE DES TEMPS POSTMODERNES
vendredi 12 septembre 2008
LA TOUR S'AFFOLE
"L'architecte français David Serero a imaginé une extension de la Tour Eiffel en son sommet. Les visiteurs se promèneraient sur une plateforme fixée au 3e étage du monument. L'affaire fait grand bruit et la presse du monde entier s'en est emparé. Pour la société d'exploitation de la Tour, c'est un canular. Elle assure n'avoir jamais commandé ce projet. Mais l'architecte est formel : son idée est réalisable". source
un canular ??
jeudi 4 septembre 2008
LA VILLE ABANDONNEE
"There are many reasons why cities are abandoned; some, like the ghost towns of the American West, have become tourist destinations while others have been condemned or simply forgotten. These 20 abandoned cities of the world share an eerie, haunted quality that is part of what makes them so fascinating". lire la suite (source : weburbanist)
mercredi 3 septembre 2008
FRIEDENSREICH HUNERTWASSER (1928-2000)
"Certains disent que les maisons sont faites de murs. Je dis qu'elles sont faites de fenêtres."
"When different houses stand next to each other in a street, all having different window types, i.e., window races, for example an Art Nouveau house with Art Nouveau windows next to a modern house with unadorned square windows, followed in turn by a Baroque house with Baroque windows, nobody minds.
But should the three window types of the three houses belong to one house, it is seen as a violation of the racial segregation of windows. Why? Each individual window has its own right to life.
According to the prevailing code, however, if window races are mixed, window apartheid is infringed. Everything is there: racial prejudice, racial discrimination, racial policy, racial ideology, racial barriers, with fateful impact of window apartheid on man. The apartheid of window races must cease. For the repetition of identical windows next to each other and above each other as in a grid system is a characteristic of concentration camps. In the new architecture of satellite towns and in new administration buildings, banks, hospitals and schools, the levelling of windows is unbearable".
web
mardi 15 juillet 2008
mardi 3 juin 2008
Quand l'imagination manque, l'imaginaire trinque
vendredi 30 mai 2008
la ville de demain et le numérique comme outil de représentation : un imaginaire renouvelé ?
mercredi 28 mai 2008
juste avant la ruine, fausses ruines
faire naître de la ruine
Suite à l’impact des deux avions, l’effondrement des tours jumelles à New York a d’abord conduit à l’observation d’une ruine « ardente » éphémère, puis à un vide — symbole de la perte de/du tout — en attente de l’incarnation d’une mémoire collective à matérialiser, à rendre visible. De nombreux projets architecturaux ont été proposés. Chacun a développé un argumentaire singulier. Mais les formes architecturales retenues et le parti d’aménagement adopté répondaient également à une autre attente : redonner à la ville ce « signifiant/signifié » — évoquant sa place aux Etats-Unis mais aussi dans le monde. La proposition de Daniel Libeskind a fait l’unanimité et répond à ce double souhait en intégrant l’aménagement élaboré par Michael Arad et Peter Walker pour le mémorial. Mais l’attention mérite d’être portée sur l’un des projets non retenus ; celui conçu autour de Richard Meier, Memorial Square, interroge. La surprise vient de la forme architecturale imaginée qui procède de ce que l’on appellera ici la transfiguration de la ruine. L'on peut faire l’hypothèse que cette transfiguration est un processus avec ses rouages, producteurs de sens : en une volonté de célébration, d’affirmation de la mémoire des lieux, le motif de la ruine motive le geste architectural. Ce motif trouve même son origine dès la conception de l’édifice. Au-delà, une véritable rhétorique de la ruine peut-elle être esquissée, emportant avec elle la destinée de la ville et du monde ? Désireux d’entretenir le rapprochement entre littérature et architecture, le roman de Jonathan Safran Extrêmement fort et incroyablement près, nourri des attentats de 2001, apporte un éclairage complémentaire. Il autorise le croisement des lectures notamment lorsqu’il s’agit d’expliquer que la ruine — en tant qu’anéantissement d’un objet — empêche la ville d’être vue d’ici ou d’ailleurs, ou a contrario que c’est par la ruine vue depuis la ville, le pays ou toute partie du monde que l’espoir renaîtra.
vendredi 23 mai 2008
un pont, une sardine, un projet : Marseille
Le recours à l'imaginaire pour penser la ville de demain se fait souvent en relation avec une histoire ou des histoires locales ayant marqué l'espace et la société. À Marseille, le Vieux Port n'est pas avare de ce type d'inspiration. Ainsi, depuis le pont à transbordeur (réel) détruit pendant la deuxième guerre mondiale jusqu'aux maquettes proposées à l'occasion d'un concours projetant la Ville en 2050 (symbolique), en passant par la sardine qui obstrua l'entrée du Port (imaginaire), les trois dimensions constitutives de la réalité se jouent du temps et s'informent mutuellement
.
mercredi 21 mai 2008
Las Vegas : grandeur et décadence du symbole
Ainsi, dans l'incompréhension Las Vegas restera un mystère pour beaucoup, un lieu de perte de soi et tout à la fois d'émerveillement. Pour les plus avertis, cette ville sera l'expression paroxystique d'une critique totale de notre monde par l'architecture et l'affirmation symbolique d'un imaginaire bâtisseur à la dérive.
lundi 19 mai 2008
l'imaginaire fait le réel : l'espace public bruxellois
"Elles sont une vingtaine de fresques ainsi réparties à travers la ville. Elles offrent un visage étrange. Elles nous obligent à dire qu’à l’instar de Paris - qui est une fête -, Bruxelles, Mecques incontestée/incontestable de la Bande Dessinée, est une BD. Voilà. Le 9ème art, celui qui n’a pas d’âge, se matérialise sur les murs de sa ville... natale ( ?). Et voilà qu’on découvre ces cases à tous les coins de rues, sans qu’il soit nécessaire de lever le nez". source
dimanche 18 mai 2008
quelle imagination pour quel imaginaire ? Urville en images
jeudi 15 mai 2008
de Babylone à Dubaï : degré zéro de l'imaginaire
lundi 12 mai 2008
aux sources de l'imaginaire urbain
De Babylone, le sens commun ne retient bien souvent que la Tour de Babel ou les Jardins suspendus, deuxième Merveille du Monde. Fortement marqués d'un point de vue symbolique, ces deux monuments, au sens plein du terme, font presque oublier la réalité urbaine qui a marqué l'espace. Ces deux manifestations d'une mémoire de la Ville de Babylone ou de son épaisseur légendaire évoquent la Ville comme catégorie, comme type-idéal d'une œuvre humaine honorant l'Homme. Mais c'est aussi l'occasion de signifier sa perte par sa trop grande prétention. La Ville lieu des possibles et de toutes les œuvres ; la Ville lieu de perdition par la corruption des âmes. Dès lors, l'aventure urbaine ne cessera d'évoluer entre ces deux positionnements extrêmes : de l'expression du sublime, du sacré à l'aveuglement jusque dans l'abandon et la souffrance.
à voir : Le Louvre • exposition Babylone